Vingt et Unième
Vingt et Unième (n.p.) : Titre éponyme du Vingt et Unième album de JudokA, qui devait normalement en être et qui en fut, bien qu’il n’existât pas. //. Aléas de l’histoire judokéenne.//. Le plus souvent évoqué dans les allocutions plus complètes « le regretté Vingt et Unième » ou « Feu le Vingt et Unième …» .//. Le Vingt et Unième constitue le revers dialectique de la propédeutique judokéenne. Les fondements d’improvisations de la Judokité en sont aussi les limites, exposés qu’ils sont aux contraintes matérielles et technologiques des enregistrements libres. //. Ce par quoi la Judokité naît, ce par quoi la Judokité meurt .//. Présence exceptionnelle de Mö, Monsieur Frampas et Pimprenelle .//. C’est l’inconsolable perte du Vingt et Unième, in fine non enregistré, qui inspira le poème apocryphe « Elégie des sons perdus » :
« Ne reste que des images aux contours floutés
Ne reste que les voix des chœurs pénétrants
Ne reste sous la sphère d’un plafond étoilé
Que le bleu souvenir de guerriers conquérants
Ô rires sincères et francs des muses enamourées
Ô que ne puissiez-vous inspirer d’autres élans
Bien qu’il n’existât pas, il fut ce que savez
Vingt et unième émoi de sons incandescents »
In Recueil Immatériel. JudokA (Eds)
.//. Tip tip tip, tin tin tin, ti ta ti ta ti.