" Ces petits yeux pervers qui se déguisent 

Son âme enfantine, travestie, 

Cachée sous les buissons 

Comme, lors de la piscine, 

Derrière les serviettes

On se cachait

Dans les vestiaires 

Pour gagner un de tes baisers secrets

Si, dans l'eau, je mettais l'un de mes pieds nus...

Ce chantage sexuel 

Sous l'ombrelle des parasols 

De Taxo les Pins 

Je me suis découvert de mon maillot de bains 

Tout étriqué 

Les fesses serrées 

Oh amie, tu m'emmènes dans ton vestiaire

Et là, une fois la porte close et refermée de son loquet 

Oh, je te laisse imaginer..." 

JudokA, Recueils Immatériels, 2016