Bar à sons (loc.jdkl.) : Installation des machines électroniques de JudokA. Sa planification, dûment réfléchie, permet de concentrer dans un minimum d’espace le maximum de membres, de machines, de Jack, de binchs, de fumées, de larmes refoulées et de rêves enfouis.//. Kaos Pro (2), Mini Kaos, Kaos Pad, BR 600, Table, Synthé, Groove Box, Micro, Ampli, KA, Ju, Phil, Do (en période nucléarienne), binchs (7), mégots (27), fils (12), jacks (12), tabouret (1), bras pivotant (1), chaleur (25°C à minima).//. Proximité musicale, physique et électro-technique. //. Par extension, sudation, cri, ferveur, tremblements et élévation.//. Le bar à sons a donné lieu à une Song inaugurale, intitulée Technibar in  Paintings .//. Plus tard, il est dit que le projet se dotera d’une table performante. Plus tard, il est dit que le projet se dotera de menus sous format papier, permettant de choisir à la fois les genres, les sons et les lignes mélodiques de la musicalité judokéenne. Plus tard, il n’est pas dit que le bar à sons s’ouvrira enfin à la présence de femmes judokéennes.//. On admet, in fine, que le Bar à Sons, implicitement, a des vertus initiatiques, car « qui pénètre le Bar à sons et ne veut plus jamais en revenir, qui peut ressentir cela, s’en saisir, en trembler, le jouer, cet homme là ne demande plus d’où il vient, où il va, ce qu’il est, cet homme en cet instant est devenu un JudokA ». //. Where we are.