GZAV
GZAV (n.p.judokéen) : frère de sang, il l'est aussi de musique et de judokité.//.Frère d'armes, de kaos, de pad, il veille aux parenthèses enchantées, suit les silences, reste vigilant aux interstices que la poésie dépose dans les recoins de nos incertitudes, ces poussières que la judokité exacerbe, re-joue, re-chante.//. Frère des cliquetis des installs, des clignotements de synthés, des larsens, des lumières que les fêlures des quotidiens ajudokéens tracent dans les textes, les arpèges, les boucles de beats.//.Intronisé lors de la Coulombiale XII, avec cette élégance de laisser penser que le lieu de session était chez JudokA avant d'être chez lui.//.Incarne de façon innée la pudeur judokéenne, cette délicate discrétion qui fait venir au micro avec une sincérité qui rend inutile la brillance et qu'on écoute pour son grain d'authenticité.//. Normalement, c'en est;//. Trompettiste, son instrument a gratifié la session du 68 de fulgurances sonnantes et trébuchantes, des éclairs, des cris, du pointu dans les ventres mous.//. Frère de Karls, de courgettes et de pizza.//.Frère des tremblements de la nuit.