Coulombiales
Coulombiales (n.f.pl.) : Etymologiquement associées à la localité éponyme.//. Consécutives à la « réorganisation viragienne », « les Coulombiales » caractérisent une période de temps significativement plus longue que celle ordinairement offerte par les Sessions, afin de donner sa pleine mesure à la pulsion créatrice de JudokA. En conséquence, elles spécifient également l’espace délocalisé où cette pulsion peut se libérer sur ces dites longues périodes. //. « Les Coulombiales » sont aussi bien le lieu de sessions temporellement illimités - hormis par le seul épuisement libidinal peut-être - que de moments de villégiature extra-musicaux. Ainsi, JudokA re-apprend le Vivre Ensemble en partageant des repas à base de fruits et de légumes qui rompent avec le prêt à manger traditionnel des sessions (cf. pizzas.). Dans un même souci bio-ethique, JudokA, se ré-ouvre à la randonnée pédestre, ré-orchestrant la virginité première de ses sources. //. Ouverture aux chemins de pêche. Ebahissement devant les parterres de jonquilles. Redécouverte de l’artisanat judokéen par l’entremise des bâtons de marche. Dépouillement de l’ego. //. La musique que JudokA improvise durant les « Coulombiales » est une musique identiquement ouverte à toutes les musiques, à toutes les cultures, à tous les instruments et à tous les thèmes. De là, les albums « Coulombia Tour » (cf.) et « Week-end » (cf .) qui restituent une idée de la pluralité - repensée dans son contexte structuraliste - et visent l’universel. De là aussi, la régénérescence conceptuelle du groupe, comme en atteste l’idée fantasmée de l’implantation d’un premier camping judokéen. //. « Les Coulombiales » pourraient donner lieu – on ne sait – à un premier festival .//. Printemps de Bourges. Eurokéennes de Belfort. Judokéennes de Coulombs.