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Ecoute Partagée (loc.jdkl) : Concept constitutif de la réalisation judokéenne, qui participe de façon cruciale au processus dynamique de JudokA.//.Indissociable du Ca record, car in fine, ça record pour qui ou quoi ou ques' ? //. L'écoute partagée ne laisse jamais aussi pressentir sa force que lorsqu'elle manque et que gagnent sur les questions essentielles, vivantes et créatrices, les réalités fonctionnalistes de l'Aquoi ça sert.//.

Evidemment : (loc.jdkl). Se dit de tout corps - objet, sémiologie, song, esprit - qui relève irrémédiablement de la judokité avant qu'il ne soit besoin de l'expliciter.//. Ne concerne pas France Gall.//. Intuition ante-intellectuelle que quelque chose ou quelqu'un en est.//. Par exemple, G. , évidemment. //. Emulation du tremblement, qui contredit le jt'assure guy.//.

Evolution (n.c.) : 41ème album de Judoka .//. Evolution est issu d'une plage musicale d'environ 40 minutes provenant de la Coulombiale dont fut tiré l'album Week end. De part sa particularité musicale hautement expérimentale, le passage fut traité séparément et fit l'objet d'un album narratif .//. Fresque historique retraçant différentes étapes de l'évolution de l'humanité depuis ses origines jusqu'à un futur apocalyptique où l'Homme se soustrait à sa propre technologie.

Everfighting (loc.jdkl.) : 31ème album de JudokA, qui se situe à la croisée musicale, conceptuelle, numérologique et musikanalytique des voies judokéennes .//. Musicalement, « Everfighting » est ce que « Munich 97 » fut pour la Old School, à la fois son apogée avec « In my Brain » et sa fin avec « Reload ».

Escape (n.m.) : 19ème album de JudokA. Moments intimes, plus feutrés, plus posés. Vague retour à la chanson française. //. Formation/Déformation structurelle du groupe en trios et quintets.

- ECOUTER L'ALBUM -

Empire (n.m.) : 18ème album de JudokA. Rare puisque joué à 5. Ambiance plus stylisée,  plus sourde. //. Empire  est  une vindicte autant qu’un hommage à la récence de l’histoire du nouveau Continent, construite sur les flux migratoires. En témoigne le mélancolique « America », composé en souvenir des migrants nord-européens qui affluaient au début du 20ème sur les quais de Boston.