GZAV (n.p.judokéen) : frère de sang, il l'est aussi de musique et de judokité.//.Frère d'armes, de kaos, de pad, il veille aux parenthèses enchantées, suit les silences, reste vigilant aux interstices que la poésie dépose dans les recoins de nos incertitudes, ces poussières que la judokité exacerbe, re-joue, re-chante.//. Frère des cliquetis des installs, des clignotements de synthés, des larsens, des lumières que les fêlures des quotidiens ajudokéens tracent dans les textes, les arpèges, les boucles de beats.//.